’Il est interdit de tout dire’...
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En 1968, dans le ton qui est propre à l’insouciance d’une jeunesse généreuse qui voulait que tout cela change, dans la France entière, on scandait haut et fort, le regard pointé vers l’avenir, qu’"il est interdit d’interdire".
Trente sept ans plus tard, en 2005, dans le ton qui est propre aux tenants calculateurs d’un système qui s’accommode fort bien d’une économie qui serait bien plus florissante si elle réduisait sérieusement les emplois, en catimini, on se passe le mot : "il (…)