Zistoir lé menter…
Avant de raconter un ‘zistoir’, on commençait par dire : ‘Si zistoir lé menter, pas moin l’auteur’. On prévenait. On savait que c’était un ‘racontar’. Quand on se met à raconter l’histoire, l’histoire de la vie des gens, surtout par écrit, ‒ l’écrit reste – il faudrait aussi prévenir : « Faîtes attention, il peut y avoir des erreurs ». Quand on est ‘en haut’ pour ce qui concerne ‘l’instruction’, on est responsable de ce qu’on écrit. Parfois, heureusement, quelques témoins des événements sont (…)