C’est pourquoi...
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Comment donc cette église que l’on savait si grande débordait ce lundi jusque sur le parvis ?
Comment donc, sur les bancs, se pressaient tant de gens dont on pouvait penser qu’elle les connaissait ?
Comment donc se fait-il que chacun des propos tenus par ses enfants, ses frères et son mari, tenus pour ses amis et tous les camarades de son parti, furent autant à ce point écoutés, médités, adoptés comme pour mieux associer ceux qui les entendaient à sa vie toute entière donnée, (…)