Courrier de lecteur
Non, M. Labro, l’argent public ne vous appartient pas
Vue d’une partie de l’usine Tereos de Bois-Rouge, qui fonctionne grâce à la canne à sucre livrée par les planteurs.
Mon grand-père était “planteur de cannes”, c’est à dire qu’il a passé toute sa vie comme journalier agricole et producteur-livreur de canne. Par sa sueur, il a participé à l’enrichissement économique de La Réunion. Comme lui, des dizaines de milliers de familles réunionnaises ont fait le bonheur des banques et des usiniers.
Depuis, les planteurs de cannes, les (…)