Dans le projet de Constitution européenne
’L’Outre-mer juridiquement et économiquement affaibli’
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"Si on dit “oui”, on conforte le pouvoir actuel et on ne sera plus jamais consultés sur l’Union européenne parce qu’ils auront eu trop peur ! Dire non, c’est un avertissement à faire autre chose, avec nous. Et ils seront obligés de nous consulter à l’avenir". C’est sur cette conclusion que le juriste guadeloupéen a mis un terme au débat suscité par les hésitations de gens qui n’étaient pas venus pour entendre dire que la Constitution est "100% bonne ou 100% mauvaise" selon le mot (…)