Dans le projet de Constitution européenne

’L’Outre-mer juridiquement et économiquement affaibli’

(page 3) "Si on dit “oui”, on conforte le pouvoir actuel et on ne sera plus jamais consultés sur l’Union européenne parce qu’ils auront eu trop peur ! Dire non, c’est un avertissement à faire autre chose, avec nous. Et ils seront obligés de nous consulter à l’avenir". C’est sur cette conclusion que le juriste guadeloupéen a mis un terme au débat suscité par les hésitations de gens qui n’étaient pas venus pour entendre dire que la Constitution est "100% bonne ou 100% mauvaise" selon le mot (…)

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