Sauver le monde ou enrichir l’entreprise ?
Depuis plus de 50 ans et, malgré quelques réactions ponctuelles (Club de Rome, par exemple), c’est l’économie mondialisée à l’occidentale qui est la bible de quasiment toutes les nations. Les grandes règles de cette économie « bulldozer », sont relativement simples : « priorité absolue à la santé financière des entreprises transnationales (business as usual) » et, pour cela, le moins d’entraves possible à leur développement. Sans aucuns liens avec la nation dans laquelle l’entreprise est (…)