Le courrier des lecteurs du 13 juin 2005
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On a changé les “outres”...
S’il est dit qu’on "ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres" (1) , il n’est pas excessif de dire qu’avec le nouveau Premier ministre, si on a changé, ou plutôt interchangé les outres, le vin, lui, est resté le même : de la piquette, du vulgaire picrate ; du mauvais vin qui, en trois ans d’âge, et même d’avantage, ne s’est pas bonifié, bien au contraire. Le jugement des Français, le 29 mai, ne fait aucun doute à ce propos ; on les (…)