« Quelque chose s’épuise » dirait Hans Selye, le père du stress
Une morbidité humaine planétaire (à définir) fait-elle le lit du coronavirus ?
Comment expliquer que certains contractent le virus sans manifester le moindre trouble quand d’autres succombent à la suite de souffrances irradiant à l’ensemble du corps ?
Dans ces deux configurations aurons-nous suffisamment de données - fiables, pas uniquement statistiques - pour en tirer des enseignements ? Anticipant, l’hypothèse pessimiste qui nous vient spontanément à l’esprit se déduit de l’étude des victimes : ils souffriraient d’un état de morbidité à l’échelle de la planète. Dans (…)