Ile durable ?
Pour que mon ile ne meure pas étouffée par la mondialisation, je devrais, logiquement ne consommer que des produits et des services 100 % insulaires, 100 % réunionnais car je sais que mes achats sont mes emplois. Si j’aimais mon ile, c’est ce que je ferais. Mais je n’aime pas ma terre, mon territoire, l’ile où je suis né.
Même dans un paradis, l’enfermement est une prison. Mon passé fut trop douloureux, alors, je jouis sans contraintes du présent et je me moque bien du futur. Qui peut me (…)