Le scandale mondial du déséquilibre
Non seulement les riches continuent d’écraser les pauvres (ce que pudiquement les économistes appellent : « la dégradation des termes de l’échange ») mais ils se permettent, au-delà du raisonnable, de dépenser plus que ce que, malhonnêtement, ils ont gagné. Il est ahurissant que la règlementation européenne autorise les pays de l’Union à s’endetter de plus de 60 % du PIB, il est encore plus ahurissant que la France et l’Espagne se permettent de crever ce plafond (96,9 % pour la France qui (…)