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Jeux olympiques
16 août 2004
Après les polémiques sur les infrastructures et la sécurité, après l’imposante et majestueuse cérémonie d’ouverture, aux Jeux olympiques d’Athènes la place est désormais aux compétitions. Comme à l’accoutumée, les sports individuels livrent en premier leur lot de médailles, et déjà quelques tendances se dessinent.
Lors des deux premiers jours des JO d’Athènes, 26 titres olympiques ont été attribués, dont près d’un tiers en natation, où la suprématie des USA est entamée par la présence bien réelle des Australiens, déjà perceptible lors des jeux de Sydney.
La Chine fait une irruption particulièrement spectaculaire en s’octroyant 4 médailles d’or dès le premier jour en tir et en plongeon, et en se plaçant ainsi en tête du classement provisoire des médailles.
L’Italie, avec deux médailles d’or entame elle aussi la course aux médailles en tête, en arrachant le titre olympique au sabre Individuel homme et en cyclisme en ligne homme.
C’est sans surprise que l’on retrouve le japon au judo, où il a déjà obtenu plusieurs médailles d’or, mais sa médaille d’or de natation était moins attendue.
La France pour sa part connaît quelques déconvenues. L’échec de ses cyclistes, dans la course en ligne, aussi bien chez les hommes que chez les femmes n’était pas attendu, de même que l’échec d’Euranie en judo, ou celui de Flessel en escrime, qui constituait un des derniers espoirs français d’avoir en ce premier dimanche olympique une première médaille d’or.
Celle-ci est venue, un peu tardivement, vers 22 heures (heure de La Réunion), avec la victoire de Laure Manaudou dans le 400 m nage libre (dames), où la Française l’a emporté devant la Pologne et les USA.
S’agissant des sports collectifs, les compétitions ont bien sûr commencé par le premier tour dans la plupart des disciplines. En handball masculin, l’équipe de Jackson Richarson n’a pas manqué son entrée, avec une brillante victoire face au Brésil. En volley-ball par contre, les tricolores ont manqué leur entrée avec un échac trois sets à zéro face aux Allemandes que l’on n’attendait pas à ce niveau. Tout n’est pas perdu pour autant pour les joueuses françaises.
Il faut attendre encore quelques jours pour voir se profiler les résultats possibles dans ces disciplines, et nous nous efforcerons de donner chaque jour à nos lecteurs, une vision claire des différents sports collectifs.
C. H.
Les Jeux Olympiques : près de 3.000 ans d’Histoire
Les milliers d’athlètes, les meilleurs du monde, qui disputent à Athènes, la capitale grecque, du 13 au 29 août 2004, les 28èmes Jeux Olympiques, vont littéralement faire revivre une longue tradition d’activités sportives qui remonte à plus de 2.000 ans.
Les premiers Jeux Olympiques étaient célébrés comme un festival religieux qui va de 776 avant Jesus Christ jusqu’en 393, date à laquelle l’empereur romain, Theodose, décida d’interdire toutes les fêtes païennes (les Olympiades célébrant le dieu grec Zeus). Mais avant cette interdiction, l’athlétisme a joué un rôle important dans les manifestations religieuses des Grecs de l’Antiquité qui croyaient que les sports de compétition plaisaient aux esprits des morts.
Des festivals honorant des dieux comme Zeus étaient souvent organisés par les Grecs à cette époque. Durant les 13 premières Olympiades (une Olympiade est un intervalle de quatre ans entre les célébrations des Jeux Olympiques), la seule épreuve en compétition était la course à pied sur 192 mètres. Le premier à remporter cette épreuve était un cuisinier nommé Coroebus qui devint ainsi le premier champion olympique de l’Histoire.
Par la suite, des courses sur des distances plus longues furent progressivement introduites. Durant l’Age d’Or de la Grèce qui, selon la plupart des historiens, s’est étendue de 477 à 431 avant Jesus Christ, Olympie était considéré comme un lieu saint. Les athlètes victorieux remerciaient publiquement les dieux et étaient révélés comme des héros. Cependant, les récompenses accompagnant la victoire devaient progressivement corrompre l’objectif initial des Jeux. Les amateurs idéalistes cédant la place à des athlètes étrangers compétents auxquels la nationalité grecque était accordée.
Les Jeux se poursuivirent jusqu’à la destruction physique des temples d’Olympie en 462 par une armée romaine envoyée par Theodose. Au cours des 15 siècles suivants, des tremblements de terres et des inondations ensevelirent le site des premières olympiades.
Mais le 23 juin 1894, un éducateur français, le Baron Pierre de Coubertin, dans un discours prononcé à la Sorbonne, à Paris, devant un parterre d’autorités sportives de neuf pays dont la Grèce, la France, les États-Unis et la Russie, proposa que les Jeux Anciens soient ressuscités.
Les premières Olympiades modernes furent célébrées deux ans plus tard à Athènes où 245 athlètes (tous des hommes) de 14 pays se sont affrontés dans l’ancien stade Panathénaïque devant des foules enthousiastes. Les Américains remportèrent neuf des 12 épreuves d’athlétisme, mais la Grèce s’attribua le plus de médailles (47). L’événement ayant été la victoire d’un paysan grec Spiridon Louis, lors du marathon. La Grèce rééditera-t-elle cet exploit aux Jeux Olympiques de 2004 ?
Le succès des premiers Jeux Olympiques modernes poussa la Grèce à se déclarer le pays organisateur légitime de tous les Jeux à venir. Mais Pierre de Coubertin et le Comité International Olympique formé durant la réunion de la Sorbonne étaient déterminés à organiser la fête de l’athlétisme sur la base d’un système de rotation. Ce qui a été la tradition depuis les premiers Jeux d’Athènes, certains pays ayant organisé les Jeux à deux reprises ou plus lors des diverses olympiades de l’ère moderne.
La première ville à avoir organisé les Jeux d’été à été Athènes en 1896. Elle a été suivie de Paris en 1900. Puis suivirent, Saint-Louis en 1904, Londres en 1908, Stockholm en 1912, Anvers 1920, Paris en 1924, Amsterdam en 1928, Los Angeles en 1932, Berlin en 1936, Londres en 1948, Helsinki en 1952, Melbourne en 1956, Rome en 1960, Tokyo en 1964, Mexico en 1968, Munich en 1972, Montréal 1976, Moscou 1980, Los Angeles en 1984, Séoul en 1988, Barcelone en 1992, Atlanta en 1996 et Sydney en 2000.
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