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Projet sportif local
25 octobre 2004
Les communes les plus petites, ou les plus éloignées, n’ont pas les moyens d’une politique sportive ambitieuse. Comment corriger ces inégalités par le biais de l’intercommunalité pour que tous les Réunionnais aient une offre sportive élargie ? C’est à cette problématique que les représentants du mouvement sportif et les représentants communaux s’attèlent.
Le cadre d’action sportif communal est trop étroit pour répondre aux attentes sportives de la population, à tous les âges. Comment mieux servir la cause du sport et du handisport ? Peut-être grâce à l’intercommunalité. "Le sport n’a pas de limite communale ou intercommunale. Dans la politique sportive de ma commune, dans un cadre trop étroit, je suis accaparé par les spécialités sportives qu’il faut accompagner, mais je n’offre pas un cadre sportif élargi tel que l’attend la population. Or les besoins sportifs représentent un vecteur prioritaire, avec le culturel, pour l’insertion sociale". Ce témoignage du maire de Trois-Bassins, Pierre Heideger, souligne l’intérêt d’une réflexion régionale au service de l’intercommunalité.
Le Projet sportif local initié par la Région en relation avec chacune des communes de l’île doit contribuer à créer les conditions favorisant l’accès de tout type de public à la pratique d’une activité sportive. Deux rendez-vous ont déjà eu lieu sur ce sujet entre les responsables des Offices municipales du sport. Quinze communes étaient présentes samedi après-midi pour réfléchir à comment bâtir une communauté de point de vue entre communes qui se touchent. Ces rencontres ont pour but d’amorcer un échange, d’initier une démarche.
L’intercommunalité ne se résume pas à la collecte des déchets ménagers ou au transport en commun. Le Territoire des communes de l’Ouest (TCO), aidé par un bureau d’étude, veut intégrer la politique sportive municipale à la réalité intercommunale. Pour Raymond Lauret, élu municipal au Port et conseiller régional : "Chacune des communes dans une intercommunalité doit mesurer l’intérêt de travailler ensemble, de se rencontrer, de faire un diagnostic et de mutualiser leurs efforts. L’intercommunalité est faite pour corriger l’inégalité de moyens entre les communes dans un esprit de solidarité".
Demain le centre d’étude Amios rencontre le Comité consultatif sportif du TCO, groupe de réflexion rassemblant des élus ou des acteurs de chaque commune membre. Jean Bartoli, chargé d’étude, actuellement à La Réunion dans le cadre de ce dossier, est intervenu sur l’approche intercommunale de la politique sportive. Pour définir les principaux enjeux du développement d’une politique sportive, trois étapes : un diagnostic territorial, une réflexion commune pour déterminer les grandes lignes du projet sportif et pour déterminer un plan d’action. Le diagnostic territorial est complexe, pour une observation claire, il faut avec l’aide des services communaux identifier les équipements. Il faut aussi un diagnostic des politiques sportives communales, et un diagnostic des attentes de la population. Il est nécessaire de concevoir le sport en articulation avec les autres politiques publiques et de bâtir cette politique en fonction du contexte de l’agglomération.
Dans la pratique du sport, l’intercommunalité existe déjà, les communautés de communes sont déjà en retard par rapport à la population. De fait les habitants de Salazie n’ayant pas de piscine dans le cirque, vont faire de la natation à Saint-Benoît. De fait, les spots de surf sont des sites uniques, tout comme les points de parapente. Ces lieux là ont une véritable vocation régionale et peuvent solliciter le soutien de la communauté de commune. Les actions peuvent aussi se traduire par une amélioration générale des équipements municipaux, en décidant par exemple de doter tous les stades d’une pelouse synthétique. D’autres actions peuvent se concentrer sur le tracé des pistes cyclables sur l’ensemble des routes de La Réunion. Les pistes de réflexion sont nombreuses, aux communautés de communes de s’en emparer.
Eiffel
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