
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Pour une compréhension du cancer
7 mai 2018, par
Ce courrier cherche à attirer l’attention des cancérologues et des chercheurs de métier à propos de nouveaux regards qui pourraient se porter sur la maladie du cancer. Des personnes touchées par cette maladie peuvent également prendre connaissance de cet écrit. Il leur est, en fait, adressé prioritairement. Il devrait être possible dans notre pays de développer des analyses différentes, voire divergentes, à propos de cette maladie. Le principe d’exposer de telles analyses, ici développées, devrait être admis tant que l’on n’aura pas trouvé la (ou les) véritable(s) cause(s) du cancer. Les cancérologues admettraient que d’autres approches devraient cohabiter complémentairement à celles purement médicales tant que nous sommes dans l’incertitude des résultats thérapeutiques, d’une part.
D’autre part, les analyses qui vont suivre devraient transmettre aux personnes touchées une culture informative leur permettant une introspection indissociablement psycho-affective et biologique. Le but serait de déclencher en elles un rapport introspectif leur permettant d’explorer les souvenirs et les épreuves qui auraient pu créer des expériences génératrices d’inhibition(s), de refoulement(s), de culpabilité ; lesquelles expériences stabiliseraient des foyers cellulaires d’inhibition, de stagnation et de stases et miasmes biopsychologiques créant les conditions propices à la réaction dissidente qui a été déjà décrite dans un précédant courrier : https://www.clicanoo.re/clicazot/Article/2018/04/03/Ebauche-hypothetique-du-processus-sous-jacent-lapparition-des-cancers
Selon notre hypothèse le cancer se déclencherait lorsque les conditions de la vie métabolique des cellules ne garantissent pas leur propre vie. Dans ce sens les analyses du Docteur Laurent Schwartz, (2007) nous semblent pertinentes et étayées à condition de les considérer comme les conséquences d’un environnement délétère lié à l’histoire de la personne touchée et non la (ou les) cause(s) première(s) du cancer. Dans un ouvrage de 2007 intitulé « Le principe de vie » [1], on aurait pu penser que ce praticien percevait en toile de fond un « principe de vie » qui se « retourne » en cancérisation. On aurait pu penser en outre que cette idée allait constituer « le fil rouge » de cet ouvrage, et ce d’autant plus que le premier chapitre commence par affirmer l’aspect « immortel des bactéries » dont ont émergé les cellules procaryotes et eucaryotes. Enfin on aurait pu penser qu’une lente et longue évolution aurait transformé les attributs « égoïstes » des premières cellules en cellules « altruistes » du fait de leur caractère endosymbionte assigné à des tâches complémentaires et solidaires au sein d’organes où leur destin devait se sceller en favorisant ainsi « l’émergence du premier animal » (Faustino Cordon). Avec les travaux de Chomin Cunchillos (2014) [2], l’hypothèse que nous soulevons (elle nous semble complémentaire des travaux du Dr Schwartz) suggère que cet aspect solidaire, entravant une possibilité de fuite (ou de désolidarisation) lorsque les conditions de la vie cellulaire homéostasique n’étaient plus requises, serait un facteur décisif dans la cancérisation.
Alors que les cellules ont été rassemblées au fil des siècles selon un « pacte de solidarité » désigné par le terme « endosymbiose », les cellules qui ne trouveraient pas les conditions requises pour poursuivre ce pacte se désolidariseraient, devenant dissidentes, adoptant épigénétiquement le phénotype caractéristique des cellules cancéreuses. On notera qu’il a été préféré de nommer cette « dissidence » par la notion de « prolifération anarchique ». Les mots ne sont pas neutres. Le terme de dissidence serait à considérer car il permettrait d’interpréter la cancérisation comme une réactivité qui remonterait à l’époque où les composants qui forment les cellules eucaryotes furent phagocytés, et par la suite contraints à s’intégrer au sein d’une nouvelle cellule qui devait faire face à sa logique évolutionniste de se maintenir en vie en se transformant. Il y eut plusieurs « phases » (nous préférons le terme de « processus ») du parasitisme à la symbiose selon Chomin Cunchillios (élève et continuateur de l’œuvre de Faustino Cordon) avant d’aboutir à l’endosymbiose. Le passage entre une bactérie hétérotrophe anaérobie et un spirochète serait l’apparition de la première cellule avec cytosquelette et, de ce fait, avec hyaloplasme et cytoplasme. Cette cellule devait posséder un métabolisme initialement anaérobie pour devenir aérobie avec l’inclusion des mitochondries notamment. Chomin Cunchillos relève la « redondance des voies mitochondriales » lors de la « compartimentation du métabolisme », p. 250, in « Les voies de l’émergence, Introduction à la théorie des unités d’intégration », Belin (2014). Cela peut suggérer que les mitochondries constituent un organite plus qu’essentiel pour assurer la vie cellulaire et nous savons, avec les travaux d’Otto Warburg, (abondamment cités par le Docteur Laurent Schwartz), que leur défaillance du fait de leur asphyxie causée par excès de sucre s’inscrit dans le tableau du syndrome de cancérisation.
https://www.temoignages.re/chroniques/di-sak-na-pou-di/le-cancer-de-la-betterave-des-animaux-et-des-hommes-l-enigme-du-cancer-est-elle-levee,92844
A des fins d’application, et imaginairement, nous allons évoquer, avec des arguments empruntés encore à Faustino Cordon, le moment où la Planula des océans, déjà constituée de plusieurs cellules eucaryotes, se détacha des rochers où elle était agrippée. Le plancton se faisant rare, cherchant à s’alimenter, certaines de ces cellules devaient être propulsées par une pulsion d’alimentation alors que d’autres maintenaient leurs attaches au rocher bien que sous-alimentées, selon une logique opposée énantiodromique. Les Planulas sous-alimentées du fait d’un environnement rare en plancton qui restèrent fixées au rocher périrent. Celles qui réussirent à fuir le biotope vécurent et se transformèrent en Méduses. Lorsque les cellules devinrent solidaires et complémentaires à des tâches assurant le maintien de leur structure associative, la possibilité de fuite d’un biotope défavorable à leur survie devint impossible. C’est ainsi qu’au niveau cellulaire, le processus de cancérisation résulterait d’une entrave au changement de biotope de certaines cellules qui régressent à un stade antérieur à leur association en tant que cellule eucaryote mettant un terme à la symbiose intercellulaire. Il faut rappeler que les cellules cancéreuses deviennent immortelles en culture. « Le principe de vie » réapparaîtrait ainsi.
L’hypothèse ici soulevée s’adresse à la fois aux personnes touchées par le cancer, aux cancérologues et aux chercheurs. Nous recueillerions avec reconnaissance les réactions que pourraient susciter nos analyses, contradictions autant que nouveaux arguments qui les conforteraient. Cette « émulation coopérative » confirmerait l’attitude qui consiste à n’évincer aucune éventualité dans l’élucidation d’une imbrication de causes multifactorielles de la cancérisation.
Dans un prochain courrier nous aborderons ce qui semble être considéré comme de « nouvelles stratégies thérapeutiques » présentées comme alternatives, complémentaires aux soins médicaux et dont la Revue « Pour la science » fait un n° hors série.
Frédéric Paulus, Directeur scientifique du CEVOI
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)