
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Guerre entre Israél et le Hamas
21 novembre 2023
Alors qu’Israël continue son offensive contre le Hamas dans la bande de Gaza, de plus en plus de pays comme l’Afrique du Sud et le Brésil critiquent les opérations militaires du gouvernement Netanyahou. D’autres ont décidé de rompre leurs relations diplomatiques avec l’Etat hébreu, tels que la Bolivie, le Chili et la Colombie.
En Afrique du Sud, le parti au pouvoir, l’ANC, est un soutien indéfectible de la cause palestinienne et envisage donc de fermer l’ambassade d’Israël à Pretoria. Cette question a été débattue, le 16 novembre à l’Assemblée nationale, sur proposition de l’EFF, un parti d’opposition radical, dont le chef n’est autre que Julius Malema.
Ce dernier a appelé "le gouvernement à fermer l’ambassade d’Israël à Pretoria et à mettre fin à ses liens diplomatiques avec le régime brutal d’apartheid israélien. Nous ne pouvons pas partager un territoire avec des meurtriers".
Le parti des Combattants pour la liberté économique (EFF) a organisé des manifestations devant l’ambassade israélienne à Pretoria, suivi par l’ANC, au pouvoir qui soutient la fermeture de cette représentation diplomatique, mais il reste à convaincre le gouvernement.
L’Afrique du Sud a déjà pris des mesures symboliques fortes dans le passé. En 2018, le gouvernement a transformé son ambassade à Israël en simple bureau de liaison, puis au début du mois de novembre 2023, ses diplomates ont été rappelé, et l’ambassadeur israélien a été convoqué pour être sermonner.
Cependant, rompre ses relations avec Israël comporte des risques pour le gouvernement, car l’Afrique du Sud veut être un médiateur dans ce conflit. Si elle rompt ses liens avec Israël, elle ne pourra plus négocier.
Toutefois, en gardant des contacts avec les autorités israéliennes, le gouvernement doit rendre des comptes, notamment sur la mort de l’humanitaire, Ahmed Abbassi, tué dans la bande de Gaza, par un missile selon l’ONG sud-africaine, pour laquelle il travaillait.
Ne souhaitant pas s’isoler en fermant l’ambassade d’Israël, l’Afrique du Sud tente de mobiliser contre l’État hébreu, devant la Cour pénale internationale (CPI). Pretoria veut en effet que la CPI enquête sur de possibles crimes de guerre, crime contre l’humanité et génocide.
Lire aussi : Cinq États parties saisissent la CPI
Le gouvernement sud-africain a d’ailleurs rappelé à plusieurs reprises qu’une partie du monde s’est mobilisée pour mettre fin au régime raciste de l’apartheid dans les années 90 en Afrique du Sud. De fait, il devrait en faire autant avec la situation à Gaza.
D’autant qu’à Pretoria, chaque jour la phrase de l’ancien président Nelson Mandela prononcée en 1997, "Notre liberté est incomplète sans celle des Palestiniens", est entendue par les sud-africains.
De son côté, le Bréil reste très prudent sur la guerre au Proche-Orient, en alternant les critiques envers le Hamas et Israël. Son message est que toutes les guerres et tous les types de violences doivent être rejetés.
Cependant, le 13 novembre dernier, avant d’accueillir les derniers brésiliens rapatriés de la bande de Gaza, le président Lula a déclaré, "après les actes, et je le dis, les actes terroristes du Hamas, la réponse apportée par l’État d’Israël est aussi grave que les actions du Hamas, parce qu’ils sont en train de tuer des innocents".
Récemment, le président brésilien Lula a accusé Israël de "tuer des innocents sans aucun critère" dans la bande de Gaza, jugeant la réponse de l’État hébreu "aussi grave" que les attaques du Hamas. Luiz Inacio Lula da Silva a également accusé Israël de "lancer des bombes là où il y a des enfants, comme sur des hôpitaux, sous prétexte que des terroristes s’y trouveraient".
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