Les chefs indigènes s’inquiètent de la situation
Un quart de l’Amazonie irréversiblement détruite
"Pour nous, annoncer que l’Amazonie est contaminée et détruite à 26% est très alarmant", a souligné le Vénézuélien Gregorio Mirabal, à la tête de la Coordination des organisations autochtones du bassin amazonien (Coica).
Ce dernier a expliqué à l’Agence France Presse qu’il s’agit d’une "alerte rouge nous disant que, si nous ne faisons rien maintenant, nous n’atteindrons pas les objectifs de développement de 2030 ni ceux des grands accords conclus à la COP de Glasgow", a assuré Gregorio (…)