Une mortalité corallienne de plus en plus importante
Les récifs coralliens face au blanchiment et aux impacts du cyclone Garance
Ce phénomène, qui a débuté fin janvier pour atteindre son paroxysme vers fin mars, correspond à un état de stress du corail : le corail est encore vivant, mais peut mourir si la température de l’eau ne baisse pas ou s’ils subissent d’autres agressions (apports massifs d’eau douce, boue, polluants...). Les colonies coralliennes blanchies sont donc particulièrement vulnérables.
L’État, avec l’Ifrecor (Initiative française pour les récifs coralliens), et en lien la Réserve naturelle nationale (…)