Priorité aux plus faibles
Chaque jour, quantité d’événements nous montrent que nous vivons - à La Réunion et partout ailleurs dans le monde - dans des sociétés de violence. Une violence parfois extrême, comme celle qu’ont connue nos ancêtres au temps de l’esclavage et dont les séquelles sont encore vivaces aujourd’hui.
Comme toujours, ce sont les plus faibles qui sont les principales victimes de cette violence sociale. On pense aux 100.000 Réunionnais privés du droit à l’emploi, aux 400.000 compatriotes - un sur (…)