MOTS ET HOMMAGES
Mise au point
Lors de l’entretien avec un journaliste de "Témoignages", je me suis exprimé sur d’éventuelles solutions pour que le drame des Kwassa-kwassa s’arrête. Dans le fil d’une conversation, contrairement à l’écrit, les idées fusent et le journaliste a repris très justement dans son papier cette phrase que j’ai prononcée : « Déjà, les Anjouanais ne se sentent plus Comoriens. Plusieurs fois, ils ont demandé leur rattachement à la France ».
Qui suis-je pour affirmer de telle chose ? En réalité, je (…)