« Mèt la min ansanm »
Une des marques essentielles de ces élections municipales et cantonales 2008 est le grand nombre de défaites des diviseurs des Réunionnais. La plus symbolique est celle du maire sortant de Saint-André.
Celui-ci s’est toujours vanté - même après son échec dimanche soir ! - d’être le plus fort à La Réunion dans la guerre contre le PCR. Cette guerre, il l’a menée - souvent avec l’appareil d’État et des gens dits “de gauche” - en utilisant les pires méthodes : la fraude massive et violente, la (…)