Au-delà du nombril
Après l’interview présidentielle de jeudi soir , on a lu et entendu comme d’habitude surtout deux types de commentaires de la classe politique en France : pour les uns, “tout était bon” ; pour les autres, “tout était mauvais”. Ce manichéisme des principaux responsables politiques de l’hexagone agit comme des œillères, qui les empêchent de voir globalement les graves problèmes de notre temps.
Ainsi, à l’occasion de cet entretien à quelques semaines de la présidence française de l’Union (…)