Amputation en 2004 des crédits de l’A.D.I. : moins 25 %
Une politique de l’habitat réduite à néant
Les explications “techniques” ne manqueront pas, tournant autour de la disparition de la créance de proratisation, de l’existence en 2003 d’un “fonds de roulement”, enfin de l’épuisement de ce fonds à ce jour. Mais la dure réalité est là : bien loin d’aller dans le sens d’un renforcement de la “cohésion sociale”, thème affiché non sans cynisme par le gouvernement Raffarin III, l’amputation d’un quart des crédits de l’ADI va entraîner une détérioration des conditions d’existence d’un certain (…)