Un gardien du foncier
Nous devons préserver nos espaces agricoles, et les sites naturels réunionnais. C’est un devoir. Disons donc que notre île ne dispose pas de la totalité des 2500 kilomètes carré qui constituent la superficie de l’île, et qu’il importe de rationaliser la parcelle exploitable. L’heure est au choix stratégique. Il n’est plus confortable de se livrer à la construction aveugle, sans rentabilisation des terrains. Notre île devra s’habituer à la verticalisation des architectures. Alors que nous (…)