Une superpuissance inhumaine
Le 2 septembre, à cet endroit, nous faisions le parallèle dans le traitement de la situation cyclonique aux Etats-unis et Cuba. Gustav était dans les parages. Nous voulions mettre l’accent sur la manière dont les êtres humains étaient traités, des deux côtés. Chez le super puissant, les pouvoirs publics appellent les gens à fuir et dans la petite Cuba, les gens s’organisent, malgré l’embargo imposé par les Etats-unis depuis un demi-siècle.
Gustav est passé sur Cuba avec des vents de 340 (…)