Thérèse Baillif, présidente du CEVIF
« On ne peut se résigner à la violence »
Thérèse Baillif, qu’attendez-vous de cette Marche blanche ?
- Nous voulons sensibiliser le plus largement possible la population, que ce soit le grand public, les collectivités, l’Etat. Une manifestation de ce genre sert à dire : écoutez, aujourd’hui on en a marre, il faut faire autrement. Nous espérons que les gens répondront, car les violences ne sont pas un problème de "bonne femme". Ce problème concerne absolument tout le monde : jeunes, personnes âgées, voisins, parents, frères, (…)