Tout à gagner
Depuis la semaine dernière, le baril de pétrole frôle les 40 dollars. Il "est à son plus haut niveau depuis près de 14 ans", soulignait mardi “Le Monde”. Au-delà des effets conjoncturels - notamment la guerre en Irak -, il est certain que la demande en hydrocarbures augmente, tandis que les réserves diminuent. Ce qui veut dire qu’à long terme, le prix du pétrole ne pourra qu’augmenter.
Parallèlement, de nombreux scientifiques ne cessent d’alerter au sujet d’un constat : les énergies (…)