Pas de pollution sans effets sanitaires
Ce sont les expositions fréquentes, à des niveaux modérés de pollution, qui sont responsables de l’essentiel de l’impact sanitaire, et non les pics de pollution. En effet, 97% de l’impact sanitaire est attribuable à des niveaux modérés, mais fréquents (inférieur à 50µg/m3) et seulement 3% aux pics.
Les particules fines, qu’elles proviennent des pots d’échappement des voitures diesel, de la combustion du charbon ou du fioul peuvent pénétrer profondément dans les voies respiratoires. C’est (…)