It’s a wonderful wonderful world

Le service — payant — du réveil téléphonique me tire de ma brume. Je me lève. Seul. J’allume la radio, traîne jusque dans la douche. Rasage. La radio me parle et le reflet dans le miroir ne rêve pas d’être président de la république. Ti-déj. Je pèse sur le bouton, la machine me délivre ma dose de café. Voiture. Ça démarre. Zut, plus trop de gazole. Direction la station. Personne. Ah, c’est vrai Messieurs les pétroliers ont supprimé tous les humains. « 30 euros » dis-je à la pompe. (…)

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