Manuel Marchal, envoyé spécial de ’Témoignages’ à Copenhague
Les pays du Sud ne réclament pas une aide, mais la réparation
Vous suivez de près ce rendez-vous de Copenhague depuis son début, lundi. Quel est votre sentiment au bout de cette première semaine de débats ?
- Mon sentiment, c’est que la conférence dévoile trois lignes. Les États-Unis et à un degré moindre l’Europe qui veulent limiter leur effort dans le domaine de la réduction des émissions, ainsi que dans le financement du fonds d’adaptation ; les pays émergents et le G-77 qui souhaitent des objectifs plus ambitieux de la part des pays du Nord et (…)