Saint-Paul
Un travail de titans pour libérer les ravines des pestes végétales
« Maman, on voit l’eau », dit à sa mère une petite fille en s’approchant des berges de la Ravine Saint-Gilles. Les pensées d’eau, les lianes patate, les persikèr ont disparu — seules demeurent quelques plantes aquatiques qui jouent le rôle de filtres, de frayères (1) pour les poissons, voire même de tapis vert pour les poules d’eau. Autant de pestes végétales auxquelles l’Association citoyens Contre le Chick (ACCC) et ses partenaires, dont la Municipalité de Saint-Paul, ont décidé de (…)