Jusqu’où va-t-“on” descendre ?
Que faire lorsqu’“on” a été élu au nom du « pouvoir d’achat » et de la « France qui se lève tôt » et qu’il faut affronter le mécontentement d’un peuple qu’“on” ruine pour engraisser la France qui se lève quand bon lui semble, celle qui vit de rentes et de dividendes boursiers ?
“On” s’agite. “On” se fait voir. “On” gonfle le jabot.
“On” joue les sauveteurs et les sauveurs : de la paix du monde, en Géorgie, du climat à Copenhague. De Sommets en Sommets, aux quatre coins du monde, “on” joue (…)