À qui profite la fatalité ?
Brasiers géants en Russie, inondations diluviennes au Pakistan et en Chine… À en croire l’opinion commune, le monde subirait aujourd’hui un lot de catastrophes inévitables ; le changement climatique, dit-on, est là : il faut se résigner à en subir les conséquences.
Un fatalisme qui fait écho à la complainte qui accompagne la crise économique et financière, laquelle emprunte d’ailleurs volontiers au registre de la catastrophe naturelle : dépression, tornade, séisme, le déferlement de la (…)