Comment Daniel Gonthier voit le monde
À le voir débarquant de Brasilia, transporté par le maloya, le kayamb brandi par-dessus un visage fatigué mais victorieux qu’auréolait le label UNESCO, on aurait pu croire que Daniel Gonthier avait pris, à la hauteur de l’enjeu défendu, une envergure nouvelle. Il faut croire, pourtant, que les grandes causes ne font pas forcément des géants : car c’est bien sous le signe de la petitesse que le maire de Bras-Panon a engagé l’après-Brésil.
Pour des raisons politiciennes que l’on sait, Daniel (…)