Et si les ex-ARAST occupaient le siège de l’AGS ?

Dégoût et révolte. Quels autres sentiments pourrait susciter la nouvelle dérobade de l’AGS, face aux demandes des travailleuses de l’ARAST ? Il y a trois jours, son dirigeant concédait du bout des lèvres qu’il « ne s’opposerait pas » au paiement des indemnités dues à 30 anciennes salariées de l’association effondrée. Et pour cause : la décision de justice rendue par les Prud’hommes de Saint-Denis étant exécutoire, l’AGS n’a pas le choix. Elle n’a pas manqué d’ajouter qu’elle est « consciente (…)

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