Pas vu, peut-être, mais bientôt pris…
La fameuse "com’", qu’on le veuille ou non, façonne aujourd’hui l’activité politique. À tel point qu’elle ne sert plus seulement à enrober les bonnes ou mauvaises actions des décideurs : elle est de plus en plus en train de les remplacer… du moins, chez les décideurs qui sont plutôt mauvais que bons. Ceux-là ont fini par se rendre compte que réaliser des projets sur le papier, à la télé et sur internet (le fameux monde virtuel) c’est facile, moins fatigant et moins coûteux que d’agir dans (…)