Les damnées de la terre
La presse d’hier a rapporté la condamnation à une peine de 8 ans de prison ferme de Jean-Pierre Ramaye Ellama, reconnu par la cour coupable de viols sur quatre femmes.
Des commentateurs ont recherché dans son itinéraire les raisons de son agressivité et de ses « pulsions dévastatrices » (sic). D’autres encore ont mis l’accent sur le déroulement de la procédure devant les assises, relevant l’apparent paradoxe d’un avocat de la défense plaidant une peine plus lourde que le parquet, dans le (…)