Guignol à Paris, Tarzan à Adélaïde...
Ainsi donc, après l’avoir promené sous le nez du bon peuple, comme un pantin, pendant des années, pour amuser la galerie écologiste, Sarko adresse à Borloo le désormais rituel « casse-toi pauvre c… », ce qui surprendra à coup sûr deux catégories de personnes : les naïfs, qui avaient pu croire un seul instant à ses simagrées environnementales, et les sourds, qui n’avaient pas entendu son fielleux « l’écologie, ça commence à bien faire ! » éructé entre un derrière de vache et un groin de (…)