Nos peines

Férard Arista nous a quittés

Arista, tout comme Georges, c’était avant tout la solidarité, la main tendue. Il y avait toujours du monde chez eux, et ils accueillaient volontiers ceux qui se trouvaient dans la peine et la difficulté, une sorte de famille d’accueil sans le titre, car ils avaient le cœur bon et généreux. Ils aidaient les uns et les autres sans jamais rien demander en retour. Georges est parti avant, et Arista l’a suivi quatre ans après. Quatre ans d’une absence certainement lourde à porter. Ils étaient (…)

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