Un pas en avant, trois pas en arrière
Les développements diplomatiques de l’affaire Florence Cassez ont donné lieu à la désormais classique pantomime qui résume la pratique sarkoziste en matière de relations internationales. Première séquence : haussement de ton, gonflements de jabot et de biceps côté français. Le verbe haut, le président de la République a commencé par adresser moult sommations et admonestations au Mexique. La France n’accepte pas les décisions des tribunaux mexicains, dit-il en substance, et l’on va voir ce (…)