À la lettre
Le temps, en politique, est chose bien trompeuse. Si la succession des échéances peut donner l’impression d’un rythme effréné à ceux qui ne vivent que pour accumuler les mandats, les honneurs et les indemnités, le temps est long, interminable, pour ceux qui souffrent, et n’en peuvent plus d’attendre de voir poindre un peu de lumière.
Et l’on est presque pris de vertige à l’idée qu’il n’y a finalement "que" quatre années que Nicolas Sarkozy et sa politique de ruine organisée ont accédé aux (…)