C’en est trope
Un nain de Jardin
Janvier 2011, l’évidence fait l’effet d’une bombe. Cette évidence a porté le nom champêtre et chuintant de Jean Jardin. Son livreur, son petit fils Alexandre Jardin. L’explosion est venue de la littérature. Ce qui n’est pas si mal.
Directeur de cabinet de Pierre Lavai d’avril 42 à novembre 43, Jean a traversé la rafle du Vel d’Hiv’ sans état d’âme, et est resté malgré vents et marées quelqu’un de très bien, accroché à son portrait de Laval.
Cécité, oubli, aphasie choisie, ont été (…)