Les illusions perdues de l’UMP
11 délégués socialistes, 11 délégués communistes, plus le Modem et la droite sociale : à l’issue du scrutin cantonal de dimanche dernier, les formations qui expriment un refus de la politique de Nicolas Sarkozy ont conforté leur assise au Département. Une réalité que Didier Robert s’évertue à minimiser : à l’entendre, l’UMP demeure la plus forte composante au sein du Conseil général. Curieuse logique, à l’allure presque enfantine, par laquelle le stratège défait des cantonales explique à la (…)