Hommes de corvée
Quand j’ai entendu pour la première fois la traînante ritournelle “Hyacinthe” de Thomas Fersen, tiré de son “Pavillon des fous”, je me suis dit que son gars, il devait l’avoir sorti tout droit de Steinbeck. Un de ces livres où l’homme tire vers la bête, et la bête vers l’homme. Le romancier ici jette : « Un coyote aboya, et un chien lui répondit de l’autre côté de la rivière » ; et là : « C’est pas une fois que j’ai vu ça, mais mille..., un type qui parle avec un autre, et puis, ça n’a pas (…)