L’échec de l’option militaire
Après les Pays-Bas qui ont rapatrié leurs militaires l’an dernier, c’est au tour du Canada d’évacuer ses soldats d’Afghanistan, ils étaient 3.000 à participer à la force d’occupation. Cette annonce de retrait intervient quelques semaines après celle des États-Unis, suivie le lendemain par celle de la France, puis par l’Allemagne. Les armées de l’OTAN décident donc de quitter l’Afghanistan alors que les raisons invoquées pour justifier leur implication sont toujours là. C’est en effet (…)