Paradis, ou la société en travers

Curieux ce titre quand le lecteur découvre au fil des pages que tous les personnages qui composent ces fictions sont enfermés dans la condition que leur impose une société qui ressemble à un cul de sac et où le lien qui subsiste n’est plus que celui de l’argent : société vide où ne demeure que le spectacle de ses voisins, de ses proches, d’une émeute, d’un accident ou de la mort. Plus que de marronnages, nous aurions parlé d’une écriture de la dérive. Car ces personnages de petites gens sont (…)

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par les responsables.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.