En pleine crise, protégeons les pauvres, pas les riches
En 2007, François Fillon déclare qu’il est à la tête d’un « État en faillite » mais dans le même temps il accordait 15 milliards de cadeaux fiscaux aux riches. Il faisait la fête avec l’argent public. Quand la crise des "subprimes" américains intervient en 2008, les banques françaises sont prises dans la tourmente, le couple Fillon-Sarkozy opte pour l’aide directe aux banques : ils leur apportent « des liquidités », du « cash », tout simplement en empruntant. En « nationalisant » les pertes (…)