Max Rivière aux victimes de l’ordonnance Debré
« La prise de conscience du peuple réunionnais »
« Contraints à l’exil en application de l’Ordonnance du 15 octobre 1960,
Obligés de quitter le pays qui nous a vus naître,
Arrachés à nos familles et au peuple au milieu duquel nous avons vécu et dont nous partageons les souffrances, les luttes et les espoirs,
Douloureusement meurtris, mais non vaincus...
Nous déclarons solennellement que nous restons fidèles à notre combat, fidèles aux idées et aux conceptions politiques qu’en conscience nous estimons propres à faire avancer notre pays (…)