Les cocus magnifiques
La comédie que se donne l’Homme à lui-même n’a pas de fin. Les anecdotes historiques plus ou moins riches d’enseignements que nous propose Didier Chirat procurent aux lecteurs l’impression d’entrer dans l’histoire comme on pouvait entrer en pleine nuit dans la Rome de Néron : éclairés par des cadavres brûlants. C’est tout le passé de l’humanité qui brûle ainsi de ce feu grotesque. On y profane les tombeaux, décapite les morts, fouette la mer, juge des porcs, assassine à plaisir, s’y fait (…)