Du vent dans les mots
Parcellaire, interrompu sont les mots qui s’imposent. C’est comme si vous n’arriviez pas à lire, car à chaque fois s’interpose entre vous et le texte que vous lisez votre propre image. Ça a tout l’air de perles tombées d’un collier brisé : phrases extraites d’une œuvre immense et perdue, dont l’auteur même ne se souviendrait plus.
Belletto en sait quelque chose, Adrien Le Bihan aussi, à qui on doit ces développements aphoristiques : « L’aphorisme n’explique pas le monde, il l’éclaire. Le (…)