Un nouvel eugénisme
1987, déjà, Jean-Jacques Goldman chantait : « Elle a fait un bébé toute seule/Elle a choisi le père en scientifique/Pour ses gènes... ». Et c’était très bien, ça a même fait un tube. Aujourd’hui, telle choisit en catimini un géniteur en fonction des diplômes et du profil internet, pour attribuer l’enfant qu’elle porte au mari qui en sera le père. Elle ne veut pas d’un autre enfant handicapé. Le rire mauvais de l’Histoire retentit, le rêve eugéniste n’est plus à la « race pure », il a changé (…)