Quarante jours pour clarifier… Aujourd’hui : le remords !
Le Parti Socialiste avait décidé d’organiser des primaires pour éviter des affrontements entre ses dirigeants tels que l’on a connus en 2002, et qui avait conduit à la disparition du PS du deuxième tour de la présidentielle. La gauche avait alors été contrainte d’appeler au rassemblement républicain pour empêcher l’élection du Front National. Les gens de convictions ont voté pour Chirac, sans remord, car il s’agissait d’écarter le danger principal. Aucune personne, encore moins l’intéressé, (…)